Une relation mère-fille peut avoir différents qualificatifs. Belle, enveloppante ou destructrice et déstabilisante. Quelquefois, elle peut être tout ça en même temps. C’est ce que j’ai compris en découvrant l’histoire de Geneviève Everell, alias Miss Sushi.
Cette entrepreneure hors normes communique cette réalité comme personne. Ayant eu une maman toxicomane (et prostituée à ses heures) ainsi qu’un papa alcoolique (aujourd’hui sobre), elle a grandi dans une famille plus que dysfonctionnelle.
En ce week-end de la fête des Mères, j’ai voulu vous offrir le cadeau de vous présenter quelqu’un qui aurait pu être détruite par tant de chaos, mais qui avec un instinct de survie inspirant, a pu s’évader de son milieu et se composer une nouvelle réalité, empreinte de succès, tant professionnels que personnels.
Comment peut-on aimer quelqu’un qui aurait pu nous détruire? Comment devient-on mère à son tour sans la peur de retrouver de mauvais réflexes génétiquement composés? Geneviève a répondu candidement et brillamment à mes questions lors d’une rencontre informelle au salon.
Joyeuse fête des Mères à vous toutes.
À LIRE AUSSI: