par Aujourd’hui est une journée à haute teneur en fébrilité pour toute notre équipe, et encore plus pour Mitsou! C’est que demain, le 1er février, sortira en kiosque le résultat de beaucoup d’efforts salissants… le magazine Mitsou cuisine! On vous a parlé ici de ce nouveau projet gourmand, qui comprend 60 recettes à cuisiner dans le plaisir avec un grand P (on vous en offre une en primeur ci-dessous!). Parlant de plaisir, voici quelques articles que vous avez peut-être ratés et des suggestions culturelles coups de cœur!
Une recette à essayer
Si vous n’avez jamais eu la chance de mordre dans une figue fraîche, voici le moment de le faire, vous verrez, ça n’a rien à avoir avec la version séchée! Ne vous gênez pas pour garnir cette tartine à votre goût, conseil de Mitsou.
À rattraper sur MitsouMagazine.com
Maison. Bonne nouvelle, ça ne fera pas mal à votre portefeuille. La tendance déco de 2024 à ne pas rater.
Télé. Même si elles sont commencées, vous pouvez les rattraper en ligne ou sur les applications des chaînes. 10 séries à regarder en janvier.
Voyage. Cette autrice et photographe vous donne 300 très bonnes raisons de visiter la capitale de Cuba. Heidi et La Havane, doux pays, douce amie.
Techno. Des applications pour vous aider dans vos nouvelles bonnes habitudes. Commençons l’année en beauté!
La réflexion de Jackie. Ah, cette obligation qu’on s’impose parfois de faire plaisir aux autres… Pourquoi je dis oui quand j’ai envie de dire non?
Déco. Des astuces pour remédier aux entrées bordéliques et corridors négligés. Quand l’entrée donne envie de sortir!
Mode. Après les Fêtes, on profite des soldes pour s’équiper. Bien habillée pour jouer dehors en beauté!
À voir
En tant que porte-parole du Prix Gratien-Gélinas, Mitsou a été invitée à assister à la première de la pièce Bénévolat, qui en a été la lauréate en 2022. Et elle a été soufflée! C’est pourquoi on vous la recommande chaudement. L’histoire, écrite par Maud De Palma-Duquet, tourne autour d’une étudiante universitaire (Stéphanie Arav, que vous avez peut-être vue dans la série 5e rang, où elle joue Marie-Luce à 21 ans) qui rend visite chaque semaine à un détenu (Mathieu Richard) pour lui offrir bénévolement des ateliers de français. La mise en scène, moderne et soignée, est signée Rose-Anne Déry. Vous vous souvenez de la mère porteuse atteinte de la rage dans STAT? C’était elle. Jusqu’au 23 février au Théâtre La Licorne.
Une émission de service qui marie mode et enjeux sociaux… Intrigant, n’est-ce pas? L’animatrice Rosalie Bonenfant et ses invités y abordent toutes sortes de sujets sur un ton à la fois informatif et divertissant, et c’est toujours intéressant. Par exemple, dévoiler beaucoup de peau sur un tapis rouge, est-ce un recul pour la femme? Manifester nue a-t-il plus d’effet qu’habillée? La tendance du mou chic enlève-t-il de la crédibilité? Bref, on est accro. Tout le monde s’habille, les mardis à 21h30 à Télé-Québec, aussi disponible en rattrapage sur son site web et son application.
Alors on danse?
Vous avez envie de vous accorder du temps pour sortir le méchant et danser comme si personne ne vous regardait? Ça tombe bien, le 25 février à 10h, Abeille tiendra une séance d’entraînement spirituel en ligne sur le thème «amour de soi». Comment ça fonctionne? En vous inscrivant, vous obtiendrez un lien Zoom et pourrez suivre la séance, qui fusionne danse extatique, méditation active et affirmations positives, le tout guidé par DJ Abeille. Le coût de la séance est de 25$.
Voici ce que Mitsou en a pensé: «Pour avoir assisté au tout premier événement de danse extatique d’Abeille, c’est absolument merveilleux. On danse, on chante, on évacue le stress emmagasiné et on termine l’heure complètement revigorée, en en voulant encore plus. Faites de l’espace dans votre salon ou votre chambre à coucher (c’est encore mieux quand on ne se sent pas observée pour lâcher son fou), préparez vos écouteurs ou votre haut-parleur, Abeille vous attend!»
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Sexe à Saigon
Khoa Lê est un réalisateur montréalais d’origine vietnamienne trèèèès en vue. Il lance ce mois-ci le film Má Sài Gòn (qui signifie Mère Saigon), qui traite avec grande tendresse et beauté de la réalité des personnes de la communauté LGBTQ+ dans la ville de Saigon. Entre le désir d’être soi, les liens familiaux qui se brisent et la solitude qui s’impose parfois, une poésie s’installe malgré tout. Khoa voulait raconter les siens en retournant dans la ville qui a vu naître ses parents. Il n’a pas cherché longtemps, car dès qu’il a posé le regard sur ses protagonistes, ils se sont révélés tout naturellement, avec des histoires encore plus poignantes qu’il n’aurait pu l’imaginer.
Le film a remporté le Prix spécial du jury dans le cadre de la Compétition nationale de longs métrages des Rencontres internationales du documentaire, mais Mitsou le prédit, cette récompense n’est certainement pas la dernière! Má Sài Gòn prend l’affiche à Montréal, Québec, Toronto et Vancouver ce weekend.
