Si on me demandait « Quel livre a changé ta vie? », j’aurais beaucoup de difficulté à répondre. Par contre, je sais très bien quels livres ont eu un impact à chacune des périodes de ma vie. May cause miracles de Gabrielle Bernstein en est un. Il s’est présenté au bon moment, un cadeau de mon amie Roseline, alors que je traversais une période de remise en question. J’avais envie de me relancer à la conquête de moi-même, mais j’avais aussi peur de perdre mes repères.
Gabrielle est une New Yorkaise que l’on surnomme la « Carrie Bradshaw de la spiritualité » (pour une auteure de psycho-pop, une référence à Sex and the City, c’est assez gagnant merci!) et qui après avoir travaillé dans le domaine des relations publiques et avoir vaincu une dépendance à la cocaïne, est devenue une gourou des temps modernes. Son livre (cautionné par Oprah) est un cours de 40 jours qui permet d’évaluer ses peurs et de recommencer à croire au pouvoir de l’énergie divine (même si Dieu n’est pas mentionné comme tel pour ne pas effrayer les générations X et Y). Il aide à se reconnecter, à redécouvrir sa spiritualité et à retrouver le calme nécessaire à la création ce qui fait un grand bien. C’est en travaillant avec son manuel que j’ai réussi à mettre des mots sur mes maux et à m’ouvrir pour la première fois sur mes propres douleurs et mon trouble alimentaire dans La revanche des moches. J’ai par la suite décidé d’aller faire signer mon livre et de faire l’expérience d’une fin de semaine de méditation en solo au très très très inspirant Centre Oméga dans la campagne de Rhinebeck dans l’état de NY. Gabby Bernstein fera sa première conférence en sol québécois le 20 mai prochain à la Place des arts à Montréal.
Si vous aimeriez y assister, l’organisatrice de l’événement Anne Bérubé et Autopoetic ideas vous offre 15% sur l’achat des billets en cliquant sur ce lien en entrant le code: plusgrandquesoi
On se voit là bas!!!!
Gabrielle est publiée en français par les éditions du Dauphin blanc. Elle s’est inspirée en grande partie inspirée de Marianne Williamson, qui elle-même s’est inspirée de A course in miracles.